29 Juillet 2021
Samedi 10 juillet 21
De l’avis de tous les participants, cette escapade Au fil de l’eau en Camargue fut un enchantement.
Il a débuté joyeusement au petit matin dans un car extrêmement confortable qui les a menés jusqu’à Aigues mortes où les attendait une péniche pour rejoindre, au paisible rythme de l’eau, les salines.
Les salines (sel la Baleine) où l’eau devient rose lorsque la Dunaliella Salina, une algue chargée en bêta-carotène se développe et va jusqu’à colorier les réputés flamants roses. Du rose, tous sont passés au noir et blanc des taureaux et des chevaux que les cow-boys de la manade, Le mas de la comtesse, se chargeaient de séparer selon leur rang hiérarchique.
Après la délicatesse de l’eau, la démonstration des forces taurines et l’élégance chevaline,
le temps fut venu pour un bon déjeuner aux couleurs camarguaises qu’à sa suite, un parcours
en petit train autour des remparts d’Aigues-mortes aiderait à digérer.
Au revoir Aigues mortes et bonjour les marais où depuis le car tout le monde put voir
les grandes étendues d’eau et de terres chevelus où s’ébattent les flamands plus ou
moins roses selon la saison et autres canards, hérons, échasses blanches et grues cendrées.
Et bonjour Les Saintes Marie de la mer, qui cause Covid, était étonnamment calme
en cette saison et donc propice à sillonner et à y faire quelques achats.
A la suite de cette belle journée la récompense suprême fut la découverte du Mas des sables, un hôtel aux chambres très spacieuses dans un environnement de 5 ha à la hauteur des aspirations de chacun comme le dîner qui y fut servi.
Dimanche 11 juillet
Autre jour, autre lieu. Place à la découverte de la ville d’Arles grâce à une guide conférencière
qui fit visiter entre spécificités archéologiques, les fabuleuses arènes et la grande nouveauté,
la Fondation Luma Arles-Parc des ateliers avec sa tour aux reflets métalliques imaginée par l’architecte Frank Gehry.
Tradition oblige, quoi de mieux pour terminer ce séjour qu’un déjeuner à la
très ancienne Brasserie Le Waux-hall pour ses excellentes spécialités provençales
et camarguaises comme une délicieuse Gardanne de taureau.
Après un dernier musée, un dernier verre, il fut temps de reprendre le car et de rentrer
à Roquefort les pins.
Aux dires de plusieurs membres « Voilà un endroit où l’on a envie de revenir ».